Ce plan qui clôture ce court métrage montre l’esprit de résistance. En effet, Léon Lehrer  relève la tête, prêt à résister face à la barbarie nazie. Nous pouvons d’ailleurs retrouver ce même thème dans le sujet suivant : « résister dans les camps nazis » de l'année 2011-2012 du Concours National de la Résistance et de la Déportation. Ce plan, comme le précédent, est filmé en noir et blanc pour montrer le souvenir douloureux, la violence de la punition de Lehrer Léon. La perte de couleur illustre la perte de diversité humaine voulue par les nazis. Finalement, le rythme des coups de gourdin est représentatif de la violence subie, dans le but de choquer et d'émouvoir le spectateur.