Le générique apparaît sur du vieux papier jauni par le temps. Ce fond permet aux spectateurs de comprendre qu'il va être plongé dans le passé. De plus la faible luminosité et les ombres permettent d'installer une atmosphère lugubre, qui sera l'atmosphère du « cauchemar » que vivront les déportés, dont Jeanine Morisse. De plus le prénom de cette dernière se transforme en son numéro matricule, signe de sa perte d'identité et commencement de la déshumanisation qu'elle subira.