SCÈNE D
PLAN 2
Léon Lehrer est toujours au premier plan. On remarque qu'il a chaud, qu'il sue et qu'il a de la buée sur ses lunettes, la qualité du diaphragme choisie permet au spectateur de distinguer tous ces indices, témoignant de la souffrance engendrée par le trajet.
MAKING-OF
« Nous manquons d’air, de lumière, la chaleur augmente rapidement : nous avons trop chaud, ma langue devint sèche et la soif commence à nous torturer. »